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La Résistance a transformé des homems et des femmes modestes, non pas en héros, mais en acteurs de l'histoire.
Pour les auteurs de cette brochure, marcher sur les traces des lieux de mémoire de la Résistance du Revermont et suivre les acteurs souvent ignorés de cette époque complexe, permet de leur rendre hommage et de nous interroger : aurions-nous, comem eux, fait le bon choix en défendant la patrie et les valeurs républicaines ?

Le photographe Didier Jungers propose un livre qui réunit de nombreux clichés accompagnés d’histoires ou mythes. Idéal pour apprendre à connaître l’Ain ou le redécouvrir sous un nouveau jour.

Bugey sauvage û Massif du Jura est le premier livre du photographe animalier Joël Brunet. Ce bel ouvrage est entièrement consacré à la faune, la flore et aux paysages du territoire du Bugey, dans le département de l’Ain. Le photographe y saisi notamment des animaux difficiles d’approche comme le chat sauvage, l’hermine, la martre ou le blaireau.

Le Revermont apparaît comme une terre d'élection pour l'art gothique sous toutes ses formes, que ce soit l'architecture, le vitrail, la sculpture ou la peinture murale. Afin de rester dans un cadre historique cohérent, l'auteur a choisi pour limites à son étude, celles de l'ancien diocèse de Lyon qui s'étendait en Revermont jusqu'à Gigny et Cuiseaux. le lecteur est ainsi invité, muni des outils nécessaires pour la connaissance de cet art, à suivre un itinéraire qui déborde largement sur le Jura et même la Saône et Loire, pour aller de découvertes en découvertes. L'ouvrage est donc à la fois pédagogique et touristique.

Ces nouvelles chroniques de Besse concernent le premier hôtel des postes à Bourg, les débuts du téléphone et de la vie associative. L'histoire du quartier saint Roch et du village de Saint Etienne du Bois.

Dans Le Routard Ain, vous trouverez : Une première partie en couleurs pour découvrir la région à l'aide de photos illustrant les coups de cœur de nos auteurs; Plusieurs itinéraires thématiques et géographiques, avec toutes les infos et astuces dont vous avez besoin pour réussir et profiter pleinement de votre voyage ;des activités (escapades à vélo, balades en raquettes, dégustations gastronomiques, soins bien-être, croisières...), des visites (le musée du train miniature à Chatillon-sur-Chalaronne, l'abbaye d'Ambronay, le château de Ferney...) à partager en famille, entre amis ou en solo.

Fruit de la mobilisation, des échanges et du travail croisé de nombreux spécialistes de différents domaines de l'archéologie, des musées et des sciences humaines et sociales, ce chantier et sa valorsiation font sortir de l'oubli un exceptionnel site de hauteur fortifié mérovingien des 6e-8e siècles de notre ère, que le lecteur est ici appelé à découvrir pour la première fois au travers du quotidien des femmes et des hommes qui y ont vécu et s'y sont fait inhumer après leur mort.

Ce site unique, peu à peu dévoilé, est replacé dans le contexte plus large de l'Ain mérovingien, que des fouilles anciennes comme actuelles permettent désormais de mieux appréhender.

Notre époque reste profondément marquée par la Seconde Guerre mondiale et beaucoup de nos institutions ou organismes sont issus du programme du Conseil National de la Résistance. Dans l'Ain, la mémoire est marquée par le défilé du 11 novembre 1943 à Oyonnax, la rafle de Nantua de décembre 1943 ou encore les actions valeureuses de la Résistance armée, de 1943 à la Libération en septembre 1944. Ces souvenirs forts ont fait oublier tout le reste que l'auteur restitue dans cet ouvrage : les prémices de la guerre, la drôle de guerre, l'attaque fulgurante des Allemands en juin 1940, l'installation du pouvoir à Vichy, les premiers actes de résistance (dès la fin de l'été 1940), l'opposition au régime, l'occupation allemande, le retrait des Italiens du Bugey, les refus d'aller travailler en Allemagne, la naissance des maquis, les violences multiples, la Milice, la Résistance armée, la répression et, enfin, l'arrivée des Américains et la Libération. L'histoire ne s'arrête pas là et se poursuit par la prise du pouvoir par les civils, la restauration de la légalité, l'épuration, l'assistance à l'enfance, les élections et l'installation du Conseil général de l'Ain qui se substitue au Comité Départemental de Libération. Bien des difficultés subsistent mais la République a été restaurée.

En 2008, dans l'Ain, le corps de Catherine Burgod est retrouvé dans un relais de poste à Montréal-la-Cluse. L'un de ses voisins, Gérald Thomassin, est soupçonné d'être l'auteur de ce crime à l'arme blanche. Considéré comme un marginal, jeune acteur, il est relâché, faute de preuves. La journaliste, Florence Aubenas, reprend les éléments de l'enquête et analyse les témoignages, proposant un saisissant portrait de cette province.

Cet ouvrage propose deux dossiers d’importance égale, unis par une même date, 1938.
C’est d’abord l’année où l’ancienne maternité devient un établissement scolaire qui accueille successivement une centaine d’élèves, un millier de lycéennes et, aujourd’hui, cinq cents collégiens avec, en filigrane et pour l’après-guerre, l’évolution de l’éducation des jeunes filles.
C’est ensuite l’année où la guerre devient une menace crédible, où une première mobilisation est décrétée, où des militaires réquisitionnent l’ancienne maternité pendant quelques jours, avant l’arrivée des premières élèves. La guerre finira par embraser l’Europe. Un jeune agriculteur l’observe de chez lui pendant qu’un vicaire s’évade et que deux autres Bressans sont réquisitionnés pour aller travailler en Prusse. Au cœur de la tourmente, ces hommes racontent leurs destins peu ordinaires

L'histoire des maquis de l'Ain a constamment suscité un grand intérêt de la part du public qui retient surtout de cette épopée le défilé historique des maquisards du 11 novembre 1943 à Oyonnax. Leur chef, le colonel Henri Romans-Petit occupe une place incontournable parmi les plus belles figures de la Résistance. Tous les grands événements à caractère militaire qui ont jalonné l'histoire des maquis de l'Ain, comme la bataille de Meximieux, sont connus. Les récits ou les recueils de souvenirs d'acteurs importants ou de simples combattants du maquis foisonnent, comme les monographies consacrées à des lieux symboliques de la Mémoire de la Résistance. Des opérations militaires remarquables comme le sabotage des 52 locomotives du dépôt ferroviaire d'Ambérieu-en-Bugey ont marqué durablement les esprits. En effet, l'issue de bataille du rail qui s'est jouée dans l'Ain a revêtu une importance considérable pour les Alliés. Une étude historique complète manquait pour dévoiler toutes les facettes de cette guerre secrète méconnue, tout en faisant la synthèse des faits militaires, car dans l'Ain on s'est beaucoup battu. L'auteur a consacré plus de dix ans de recherches dans le but de dévoiler les aspects les plus secrets de cette histoire des maquis de l'Ain et de leur chef. Les enjeux militaires ou politiques se sont révélés cruciaux dans ce département, à la fois pour les Alliés, les Allemands et la Résistance. Des services secrets comme le BCRA, le SOE, le SIS et l'OSS ont fait intervenir dans l'Ain leurs agents et leurs réseaux. La Dombes, la Bresse et la plaine de l'Ain ont été le théâtre de centaines de parachutages et de dizaines d'atterrissages. Les FFI de l'Ain furent les mieux armés de la région Rhône-Alpes. Cette combativité des maquis a eu un revers. Les opérations militaro-policières françaises ou allemandes, menées à la fois contre les maquisards et les populations civiles, ont été très nombreuses et firent beaucoup de victimes. Les archives allemandes et celles de l'Etat français apportent un éclairage neuf sur cette question des représailles, notamment le rôle joué par Karl Oberg et Helmut Knochen dans la rafle du 14 décembre 1943 à Nantua, comme ceux de Werner Knab et de Klaus Barbie au cours des opérations " Caporal " et " Printemps ". Enfin, ce que l'on a appelé la " Question Romans " méritait quelques éclaircissements supplémentaires, notamment au sujet de l'armement et du financement de la Résistance. Romans-Petit se trouve au coeur d'un différend opposant le général de Gaulle à ses alliés britanniques et américains. Il convenait aussi d'évoquer le rôle joué par les femmes, les médecins, les étrangers, les gendarmes et les maires dans la Résistance et le Maquis.

En pleine commémoration de cette période que l'on a appelé la « Grande Guerre », il a semblé important à l'association Patrimoine Rhônalpin de revenir sur un patrimoine communal et un marqueur mémoriel important qu'est le monument aux morts. Cet ouvrage souhaite rappeler l'importance de ces repères historiques, qui sont aussi traces sensibles et symboliques du conflit, dans le paysage de chacune des communes de France. Mais la vocation de ce guide est également de mettre en avant les responsabilités de chacun quant à l'entretien, la restauration et la valorisation de ces monuments, dans une dynamique de transmission mémorielle. Le collectif d'auteurs, composé de chercheurs, professionnels, associatifs et passionnés, a permis de croiser les points de vue et d'offrir à ce document une diversité de tons et de propos. La diffusion de ce travail à chacune des mairies des régions Rhône-Alpes et Auvergne ambitionne de soutenir les initiatives mémorielles en cours et, peut-être, de revivifier des questionnements oubliés, sur ce rôle de passeur de mémoire dont nous sommes tous responsables.

Cet ouvrage présente l'oeuvre de plusieurs artistes trop souvent méconnus, originaires du canton de Thoissey ou actifs sur ce territoire aux XIXe et XXe siècles. Il s'attache aussi à retracer les liens qui ont uni certains d'entre eux.

Parmi les artistes retenus figurent plusieurs peintres, graveurs ou aquafortistes : Nicolas Victor Fonville (1805-1856), Paul Taconnet (1827-1908), Alfred Melot (1854-1941), Charles Pinet (1867-1932), quelques photographes : Jean-Baptiste Tournassoud (1866-1951), les frères Dotta, Maxime (1874-1936) et André (1890-1956) et une femme de lettres : Jeanne Sandelion (1899-1976).

L'intérêt de l'ouvrage réside aussi dans les visuels proposés, illustrations de la vie de chacun de ces personnages, reproductions de leurs oeuvres - issues de collections publiques ou privées - qui révèlent leur talent.

Fondée vers l’an 800 par saint Barnard, ancien officier de Charlemagne devenu moine, Ambronay est une des plus anciennes et des plus prestigieuses abbayes du département de l’Ain et un des fleurons de l’architecture religieuse en Rhône-Alpes.

Cadre, depuis 1980, d’un festival de musique baroque qui l’a rendu célèbre dans le monde entier, ce monument historique classé, dont une importante phase de restauration s’est achevée en 2011, est présenté pour la première fois dans toutes ses dimensions û historique, artistique et technique û aux amateurs de patrimoine.

Cinq parties composent ce guide pratique illustré : « Toute une histoire » présente l’historique et les archives du lieu ; « Le chantier en images » revient sur les impressionnants travaux de restauration ; « Paroles d’experts » donne la parole à Olivier Naviglio, architecte en chef des monuments historiques ; « Un autre regard » révèle la valorisation culturelle du lieu et « Guide de visite », propose un parcours complet de l’abbaye se référant au plan de l’ensemble du bâtiment figurant dans le rabat de couverture.

Le Monastère de Brou propose un voyage au coeur de ses collections de beaux-arts et d'arts décoratifs du XVIIIè siècle, période qui vit Se succéder l'art rocaille et le néoclassicisme. Plus de 150 oeuvres sont présentées, dont certaines pour la première fois : des peintures, des dessins, des sculptures, un remarquable fonds d'horlogerie (la manufacture royale de Bourg fonctionna de 1764 à 1776) et de faïences de Meillonnas (fonds complété par des prêts excéptionnels de collections privées), des pièces de mobilier, des décors et des objets divers (miroirs, lampes, instruments de musique...) évoquant aussi l'art de vivre de ce siècle. La mise en lumière de ces oeuvres variées est également l'occasion d'une étude scientifique approfondie.

Le parcours d'Eugène Ducrozet, c'est la petite histoire d'une vie, dans la grande Histoire d'une guerre qui a brisé tant de vies. Plongés dans les affres de la guerre, Eugène et Justine ont vécus 28 mois, habités par la peur qui a fait irruption dans leur paisible existance de fermier de la Bresse, au milieu de l'été 1914.

Le vin, consommé depuis l'Antiquité, est un produit hautement symbolique; Longtemps lié au pouvoir, assimilé aux rites liturgiques, il est devenu, au fil du temps, plus populaire, synonyme de fête et de convivialité. La crise phylloxérique du 19e siècle aurait pu faire disparaître les vignes de nos paysages. C'était sans compter sur l'adaptation de la nature et les savoir-faire des hommes. Aujourd'hui, le département de l'Ain comprend de riches patrimoines viticoles liés à l'évolution des outils, des techniques de conservation et de vinification, des paysages, de l'architecture et du classement de certains vignobles en A.O.P. Les vignobles ont beaucoup à nous apprendre de l'histoire de ce département.

Une découverte du plateau du Retord dans le département de l'Ain, offrant une vue imprenable sur le Mont-Blanc. L'auteur présente ce lieu, source d'inspiration et destination idéale pour des vacances sportives et familiales dans la nature, en hiver comme en été.